Tania
... est une sculptrice sensible et une analyste de talent. Elle évolue harmonieusement entre la consultance en entreprise et sa carrière artistique. Sa vie de Bruxelles à Venise en passant par l’université de Padoue, son doctorat en sciences politiques, apportent à la fondation cette expérience particulière qui réinterroge sans cesse l’esprit curieux et ouvert sur le monde.
Carlos
... incollable sur Bruxelles et son patrimoine ! Il est passionné par l’art sous toutes ses formes, de l’architecture aux arts décoratifs en passant par les grands maîtres de la peinture espagnole d’où il est originaire. De par sa formation en Histoire de l’Art et son expérience en gestion d’expositions ou visites guidées urbaines, il soutient l’aspect socio-culturel de nos projets et l’Art accessible au plus grand nombre.
Félicia
... est d'âme comme de culture française. En formation permanente comme elle aime à le dire, elle a suivi, entre autres, des études littéraires et d'histoire de l'art. Après un parcours dans la mode et le cinéma, elle s'est consacrée à diverses formes de créations artistiques dont la peinture en tant qu’assistante de Jeff Kowatch et Peter Weidenbaum. Elle témoigne d’une présence fine et subtile au sein de la fondation.
Elya
... femme-poète, dirigeante dans l'industrie de l’acier et Gestalt thérapeute est une énergie brute ! Son origine berbère mêlée à sa culture française d’Occitanie expliquent son tempérament de feu. De formation littéraire, sa poésie redéfinit l'érotisme et le rapport au corps comme un lien délicat à l'âme. Passionnée d'art, de peinture du 20ème, elle a à cœur de réinventer les salons littéraires à l'instar de ceux de Marivaux ou Rousseau.
Nathan
... est de cette génération où être architecte, vidéaste, graphiste et designer tout à la fois est presque normal… mais il est de ceux qui en font une réalité. Bruxelles, Bristol, Milan, Londres aujourd’hui, à 26 ans vivre le Monde n’a pas de limites. Son regard apporte à la fondation la fraicheur, une vision en avance sur les changements, parce que justement les jeunes, eux, ils sont ce changement.
Thierry
... est avocat, il aime les mots ainsi que les liens intimes et mystérieux qu’ils entretiennent avec les idées et les émotions.
Son métier est, entre autres, une aventure sur les chemins qui unissent les premiers aux seconds et qu’empruntent ceux qui font profession d’écrire, de débattre, de jouer, de mettre en scène ou en lumière et plus généralement de raconter ce qui est, ce qui n’est plus, ce qui devrait être ou sera. Il fait, au sein de la fondation, ce que font les avocats : comprendre, conseiller et guider sans diriger. Il tentera aussi d’organiser des évènements autour du cinéma et des arts de la parole.
Thomas
... fondateur de blan, ingénieur civil dont les pas se sont heureusement égarés, son parcours est tout aussi atypique que sa personnalité. Grand voyageur, photographe humaniste, dirigeant d’entreprise, bâtisseur et aujourd’hui mécène, il n’a qu’une vie, il en aura fait sept.
Il souhaite partager un regard différent sur l’art et la culture, développer l’esprit critique, éveiller au beau et sensibiliser aux questions d’humanité. Parce que pour lui les certitudes n’existent pas et que seul le doute est ce qui rend belle la vie, sa soif de vie inextinguible le mène sans cesse à l’audace et au mouvement !
Cette fondation ne se veut ni galerie, ni musée mais un lieu de rencontre et de création, un lieu où la parole s'exprime, un lieu d'effervescense, de va-et-vient où les artistes viennent et passent. Un lieu où l'on se retrouve, où l'on mange, où l'on boit...la vie quoi.
Thomas de Wouters
La beauté réside dans l’équilibre fragile de nos imperfections, de nos doutes. Au tournant d’une existence et de ses paradoxes, à la recherche de sens ce projet de vie s’est imposé à moi, né de ma sensibilité à la condition humaine, de la vision humaniste et artistique qui m’habite. Soutenir l’Art et la culture, développer l’esprit critique, éveiller au beau et sensibiliser aux questions d’humanité.
Cette fondation ne se veut ni galerie, ni musée mais un lieu de rencontre et de création, un lieu où la parole s’exprime, un lieu d’effervescence, de va-et-vient où les artistes viennent et passent. Un lieu où l’on se retrouve, où l’on mange, où l’on boit… la vie quoi. Un foisonnement riche et follement contemporain. Des expositions, des concerts, des résidences d’artistes, des causeries, des ateliers, des master class, un bazar flottant complètement fou où les artistes viennent s’inspirer de cette énergie et des autres. Un lieu où nous venons chacun explorer notre relation au monde.
La fondation comme création artistique elle-même, comme les réalisations de l'audacieuse Iris Clert autour de l'art au-delà des conventions, transgressif, interrogatif, sans jamais oublier le beau, plus proche de la vie que de l'art académique ou conventionnel. Autour de moi un assemblage hétéroclite de personnes improbables, d’origines, de formations et de cultures diverses, pour une nouvelle manière d’appréhender l’art, peut-être plus adaptée au temps présent.
L’éclectisme et l’excellence comme identité, le vivant, l’intuition, le foisonnement, l’étonnement, l’émotion.
Thomas de Wouters, décembre 2021
L’intention du projet architectural est de contribuer à l’amélioration de l’esthétique du paysage urbain, créer un hâvre de paix visuel ainsi qu’établir et élargir les liens entre la création artistique et les questions de société. Ce cube, au-delà de la performance technique et architecturale, se veut un geste artistique.
L'idée est de prendre le contrepied que nous impose la nature : l’anti-densité. Deux étages dédiés à la fondation, deux logements aménagés sous forme d’habitat solidaire où se retrouvent des artistes en résidence, et au-delà, non pas 6 à 7 étages de rehausse, mais un cube suspendus comme un défi fou...